samedi 15 juin 2013

France, notre dernière étape

Et oui! Notre voyage touche à a fin. Par certain points de vues, on sera tentés de dire "déjà!", pour d'autres "Enfin!", mais pour tout, on dit "Waouhhh!!!".
Nous sommes heureux et privilégiés d'avoir vécu toutes ces émotions pendant la dernière année. Mais nous allons peut-être un peu vite! En effet, nous avons parcouru un bout de chemin depuis Madagascar, que nous n'avons pas encore partagé avec vous.
Départ de Tana, nous avons fait une halte de 6 jours à la Réunion chez Léa, la soeur d'Emilie (Encore!!! Les pauvres!!!). On se retrouve un peu comme si on rentrait à la maison!! Donc formidable, nous avons partagé d'autres magnifique moments avec Léa, Christian, Théo, Paul et Eugénie, ainsi qu'avec quelques uns de leurs amis. Nou avons aussi découvert le cirque de Cilaos, qui nous était jusque là inconnu. Après être montés dans un brouillard épais, nous avons dormi dans un petit gîte proche du village de Cilaos, très convivial. Au réveil le matin, tout le cirque était dégagé, nous révélant au passage une multitude d'activités qui ont tendance à nous faire saliver: canyonning, escalade, rando, vélo. Le paysage était exceptionnel!!!
Nous avons profité de ce magnifique site pendant une super rando sous le soleil s'il vous plait!!
Le séjour fût bref, mais génial. Comme prévu, nous avons pris un vol pour Bordeaux, chez les parents d'Emilie. Notre prochaine étape est la Guinée, chez l'autre soeur d'Émilie qui travaille là bas dans une association. Comme nous le faisons régulièrement depuis notre départ au mois de septembre, nous faisons un petit meeting pour savoir ce dont chacun a envie. Émilie part quoiqu'il arrive, et après réflexion, Marc aussi. Sabie et Lucas préfèrent de leur côté se poser chez leurs grands parents et ne pas faire le voyage en Guinée avec nous. Comme c'est la première fois qu'ils manifestent leur désir de ralentir un peu et que nous avons la chance que leurs grands parents les accueillent, ils ne seront pas du voyage pour la première fois depuis 8 mois et demi. La situation semble convenir à tous, c'est top! Après les démarches adminitratives nécessaires et la confirmation de la soeur d'Emilie que ça ne risque rien, Marc et Emilie partent seuls en Afrique. En effet, la date des élections approche là bas, et des manifestations sont régulièrement organisées à Conakry, la capitale. Et pas toujours dans le calme...
Nous sommes accueillis par Marie et Amid qui vont nous faire partager durant notre séjour leur vie en Guinée. Leur mission de 2 ans ici, pour l'association Guinée Solidarité (sites.google.com/site/gsmamou) consiste à diriger un centre de formation pour handicapés physiques. Les élèves ressortent au bout de 3 ans avec une formation technique en couture, mécanique, tricot ou cordonnerie combinée à un peu d'alphabétisation et de gestion qui leur permettra par la suite de pouvoir se trouver un emploi.


Chez Marie et Amid

Les réservoirs d'eau


Marie et Amid vivent dans le centre de formation et ont beaucoup de choses à gérer, et nous serons logés chez eux pendant toute la durée de notre séjour. L'endroit est très confortable voire même luxueux, malgré les aléas locaux: pas ou peu d'électricité, compensé par des panneaux solaires, et surveillance du niveau d'eau régulier, puisque l'approvisionnement par la ville est assez...sporadique dirons nous!! En vivant dans le centre, qui se trouve dans la ville de Mamou (à vos cartes!!!), et en se promenant dans les alentours, nous découvrons un peuple souriant et accueillant. Tout le monde est content de nous voir, nous sourit (mis à part quelques enfants qui pleurent: ils n'ont jamais vu de blancs et on leur fait peur...oups! On s'éclipse!!) et l'accueil est vraiment très chaleureux. Nous partageons aussi dans le centre quelques moments de la vie des élèves et des formateurs, ce qui nous plait beaucoup. La mission pour laquelle travaillent Marie et Amid est accueillie à bras ouverts ici, et il n'est pas rare que des personnes dans la rue les remercie pour leur action.
Deux formateurs de leur centre ont eu des bébés, et la tradition ici veut que le baptême soit célébré 7 jours après la naissance. Nous avons donc la chance d'y être conviés avec Marie et Amid, dans 2 environnements complètement différents. Le premier a lieu dans une concession à l'extérieur de la ville: petites cases typique regroupées dans un enclos. Nous sommes très bien accueillis et nous avons le privilège d'être présents pour l'annonce du prénom du nouveau né et pour le sacrifice de la chèvre: ce sont les 2 évènements marquants de la journée, tout au long de laquelle la famille offre le riz (plat local composé de riz (!) et d'une sauce) aux visiteurs. Le deuxième baptême est célébré dans un environnement plus aisé et on nous offre là aussi le riz, mais nous passons rapidement puisque les deux ont lieu la même journée et que Marie et Amid ne peuvent pas se permettre de s'absenter du centre trop longtemps, d'autant plus que la plupart des formateurs veulent eux aussi y assister.
Nous avons passé le premier week end à Conakry, qui est une ville très chaotique et les deux autres dans le fouta, qui est la campagne-montagne au nord de Mamou. Nos deux supers GO nous ont emmenés dans des endroits magnifques faire de superbes randos. Les paysages étaient époustouflants!!!
Chèvre équipée pour ne pas entrer dans les concessions


Une case

Idiana Jones!!

Serré!!!

Nos cueilleurs de mangues

Arrêt pique-nique et baignade. La chaleur était au rendez-vous!!

Échelles de lianes pour monter dans une gorge. Elles ont été mises en place par les villageois qui les utilisent pour aller d'un village à un autre. Sauf que eux ont des cargaisons de fous...sur la tête!!

Pour Marie et Amid!

Superbe cascade vue de loin...

Et de proche!!!


Et oui, il fait encore chaud!!!


Grâce à ce périple en Afrique, nous avons pu avoir une bonne idée de la culture africaine qui est vraiment très différente de ce que nous avions vécu depuis notre départ. Le rythme de vie est ici beaucoup plus lent et il faut apprendre à prendre le temps...pour tout (y compris pour se saluer). Patience est le mot d'ordre, et ce n'est pas toujours évident dans un contexte de travail, avec une mentalité occidentale. Nous devrions peut-être nous en inspirer un peu dans la vie de tous les jours, pour trouver un juste équilibre. Nous avons eu la chance de pouvoir découvrir la Guinée du point de vue de personnes qui y habitent et qui travaillent avec des guinéens et nous sommes très reconnaissants à Marie et Amid de nous avoir accueilli chez eux pendant presque 3 semaines.
Après notre retour en France, re-discussion pour savoir ce que chacun veut faire: Marc et Lucas rentrent pour le Canada et Émilie et Sabie resteront en France pour une durée indéterminée et en profiteront pour voir toute la famille d'Émilie.
Nous sommes donc aujourd'hui chacun d'un côté de l'océan, et ça fait bizarre à chacun d'être séparés après ces 9 1/2 mois passés ensemble 24h/24. Nous ne ferons pas aujourd'hui le point sur notre voyage. Ce serait trop prématuré et nous ne sommes pas prêts. Nous allons remettre les pieds sur terre tranquillement et même si le voyage semble terminé, c'est une autre étape pour nous que le retour à la maison. Marc et Lucas l'ont déjà démarré, Sabie et Émilie non. La préparation du départ était plus difficile à gérer que le voyage en lui-même, et ce sera probablement la même chose pour le retour. Nous allons avoir besoin de temps pour reprendre nos repères et notre vie, tout en l'adaptant à notre nouvelle perception.
Nous posterons peut-être un message final dans quelques temps sur ce blog. Vous pouvez vous inscrire à la newsletter pour être avisés quand ce sera fait, mais rien n'est sûr! Merci infiniment à chacun de nous avoir suivis, pour vos encouragements et vos messages. Nous sommes très heureux du chemin parcouru depuis le mois de septembre et encore plus de l'avoir partagé avec vous.
On vous embrasse et on vous dit à très vite!!!

jeudi 2 mai 2013

Madagascar – Tulear


Les 10 derniers jours ont été riches en émotions !! On n’a malheureusement pas pu partager ça en direct avec vous puisque nous étions à Anakao où il n’y avait pas (ou peu) de connexion internet, mais mieux vaut tard que jamais !!!
Nous ne vous avons pas beaucoup parlé des malgaches, mais nous sommes sous le charme de ces gens qui sont si ouverts et accueillants, et de ce pays qui, même s’il est difficile de s’y déplacer, est vraiment magnifique. Il est très facile ici d’échanger et que ce soit dans les taxis brousse ou en se promenant dans la rue, nous faisons plein de belles rencontres. Le contact est très facile et même s’ils ont parfois des choses à vendre, ils ne sont en général pas trop insistants et on passe des moments très agréables avec eux (notez quand même l’emploie du mot « en général »).
Nous avons depuis l’Isalo rejoint la ville de Tuléar en taxi brousse, où les habitants sont un peu plus habitués à côtoyer des touristes. Il y a à Madagascar peu de routes goudronnées, et l’une d’entre elles est la RN7 qui relie Tananarive à Tuléar. La plupart des visiteurs louent donc une voiture avec chauffeur à partir de Tana et se font un petit itinéraire jusqu’à Tuléar. De là, ils vont passer quelques jours à la plage et reprennent l’avion vers le nord. C’est probablement une des raisons pour lesquelles on ressent beaucoup plus l’influence touristique ici qu’ailleurs, ce qui nous convient un peu moins. Nous ne dormons donc qu’un seul soir ici et prenons le bateau le lendemain matin pour Anakao (on aurait pu prendre l’option route, mais on parle alors de 8 heures de piste contre 1h15 de bateau…pas fous !!!), notre prochaine destination.

Pirogue à voile, transport local par excellence

Arrivés en bateau sur la plage, nous avons comme à notre habitude démarré notre recherche d’hôtel. C’est comme ça que nous avons rencontré Christine, et par la suite toute l’équipe de l’Atlantis. On parle ici de rencontre parce qu’on avait plus l’impression d’être accueillis chez elle que de débarquer dans un hôtel. 

La plage devant notre hôtel: le bungalow rouge, c'est chez nous!!

La vue depuis le restaurant-salon

On s’installe donc, comme à la maison, et en peu de temps Sabie et Lucas se retrouvent en cuisine pour choisir ce qu’ils veulent mettre dans leur assiette, et ensuite pour faire du pain, des gâteaux… Pas la peine de préciser qu’après deux jours passés ici, ils ne veulent même pas entendre parler de date de départ !! L’ambiance est conviviale, les rencontres très enrichissantes et faciles : Olivier, Martin, Christian et toute l’équipe d’enfants qui débarquent tous les jours après l’école et qui passent le week end sur la plage devant l’hôtel avec Sabie et Lucas. Et le site est vraiment super. Tout ça fait que nous non plus, on n’a pas envie de décoller trop vite !!

partie de foot..
...suivie de baignade

Excursion en pirogue dans les îles voisines

retour du pêcheur avec le poisson, préparation...

et cuisson à la cuisine...






Observation du caméléon...

...que voilà!!!

Ryan et Christine sont en fait avant tout des instructeurs de plongée sous marine, et c’est donc très naturellement que Marc et Émilie, en arrivent à parler de faire un baptême de plongée. L’expérience est extraordinaire, en partie grâce à toute l’équipe qui s’occupe de nous, mais c’est aussi pour nous la découverte de sensations nouvelles et d’un univers qui nous était jusqu’alors inconnu : le monde sous marin. À un tel point que nous avons décidé de ne pas en rester là et de poursuivre l’expérience en suivant une formation d’Open water. C’est un cours qui comprend 4 plongées en plus d’une partie théorique et qui nous permettra par la suite de plonger dans n’importe quel club de plongée.


Lac...

...et baobab... entre deux plongées!!!

Devant notre enthousiasme et aussi grâce à la relation de confiance qu’ils ont développée avec Ryan et Christine, Sabie et Lucas décident le dernier jour de notre séjour de tenter l’expérience eux aussi. Ils ont plongé avec eux à 4 mètres de profondeur, avec leur bouteille sur le dos. Ils sont ressortis de l’eau avec un immense sourire et encore plein de nouvelles choses à raconter !!!

essai du matériel devant l'hôtel




avant le grand départ!!!



C’est le cœur gros que nous sommes repartis d’Atlantis en direction de Tananarive puisque notre séjour touche à sa fin. Le comité de départ était génial avec toutes les personnes que nous avons rencontrées durant notre séjour et qui ont fait qu’on s’y est senti si bien, et ce malgré l’heure matinale du départ du bateau.
Nous sommes à présent à Antsirabe, et nous reprendrons la route vers Tana demain ou après demain. Prochaine étape : l’île de la Réunion, ou nous sommes super contents de faire un dernier stop et de profiter encore une fois de la famille pour une dernière semaine dans l’hémisphère sud. La suite n’est pas encore très claire, mais ça devrait prendre forme sous peu !!
On vous embrasse fort, et on vous envoie du soleil et plein de sourires !!!



jeudi 18 avril 2013

La Réunion et Madagascar


Nous sommes allés faire une rando sur le volcan de l'île de la Réunion, qui est encore actif. Paysage lunaire au programme, et encore beaucoup de chance avec la météo, qui a été exceptionnelle.

Sur le bord du cratère


Nous avons ensuite finalement réussi à organiser notre rando de 3 jours dans le cirque de Mafate. Ce fut une expérience vraiment extraordinaire. Pour rejoindre le point de départ, il faut traverser un autre cirque : Salazie. Une fois au col qui sépare ces deux cirques, plus aucune route, et une vue imprenable sur Mafate…enfin plus au retour parce que nous avons démarré avec quelques nuages !!! 


Notre gîte de Marla


 Le soir, nous avons dormi dans un gîte à Marla. Ici, pas d’électricité, sauf celle produite par les panneaux solaires, de l’eau de source et un approvisionnement quotidien (la rotation) par hélicoptère. En effet, comme partout dans le cirque de Mafate, il n’y a pas de routes et pas de réseau électrique. Les hélicoptères apportent les courses des habitants dans le cirque et repartent régulièrement avec les poubelles. Au petit déjeuner (déjeuner), nous avons croisé le facteur qui passe une ou deux fois par semaine…il est très en forme !!! La vie ici est très paisible et calme, et le contraste avec le reste de l’île est surprenant.
Pique nique aux 3 roches


Nous passons le deuxième soir dans un gîte de La Nouvelle et remontons le lendemain les pentes du cirque pour terminer notre périple et retourner à la « civilisation », les yeux et le cœur remplis encore un peu plus de personnes, de paysages et d’expériences extraordinaires.

Col de fourche, fin de rando!!! (enfin presque!)

Nous devions retourner dans une autre partie du cirque de Mafate avec Léa, Christian et les cousins, mais malheureusement, la météo nous a bloqués. On ne se plaint pas parce que c’est très rare depuis notre départ, et nous avons à la place continué à explorer l’île en faisant de petites ballades à la journée depuis chez Léa, notre super GO depuis notre arrivée (OK, Christian aussi… !!). Nous sommes d’ailleurs choyés d’être aussi bien reçus chez eux, et nous tenons à les remercier encore pour leur merveilleux accueil (là, je ne ferais pas trop de pub pour éviter que tout le monde ne débarque chez eux…mais c’est vraiment top, et ils sont tops aussi !!!).
Les sauteurs fous!!

Le 5 avril, nous avons pris un vol pour Tananarive, à Madagascar. Après un bref stop en ville (notre avion repartira de là dans un mois, on s’arrêtera peut-être un ou deux jours à ce moment là), nous avons pris notre premier taxi brousse pour Antsirabe. L’expérience a été très intéressante et les paysages magnifiques!!! Arrivés sur place, nous avons loué des motos pour une journée afin d’aller explorer deux lacs volcaniques pas trop loin de là. Nous avons fait en chemin de très belles rencontres et nous avons pu visiter la campagne environnante. Partout des sourires sur notre passage et des « salama» échangés, sans aucune demande en échange. La vie ici est comme arrêtée. Il y  a très peu de véhicules à moteurs (même sur les axes principaux), et beaucoup de vélos, de personnes à pied, de charrues tirées par des zébus, des charrues tirées ou poussées par des gens, construites en bois et très basiques. Mise à part la nationale 7 qui relie Antananarivo à Tuléar qui est goudronnée (asphaltée), toutes les routes sont en terre rouges, très caractéristique de l’île et en plus ou moins mauvais état. C’est la période de récolte du riz et on croise de nombreux travailleurs dans les champs (hommes, femmes et enfants).

La ville d’Antsirabe est réputée pour ses pousse-pousse, dont les tireurs, le plus souvent pieds nus, nous accostent sans arrêt, cherchant le client, toujours avec le sourire. Il y  en a ici partout et autant les malgaches que les Vazahas (touristes) les utilisent comme moyen de transport dans la ville et aux alentours. Même quand ils ont compris qu’on préfère marcher, ils restent avec nous et nous accompagnent à travers la ville, nous donnant plein de conseils et d’infos intéressantes.

Tireur de pousse pousse

Notre étape suivante sur la RN7 en direction de Tuléar est Ambalavao, petit village entouré de montagnes. On se sent ici un peu plus immergés dans la culture locale. Le marché est fait de terre battue et les étals sont disposés sur des branches de bois, sur des bâches tendues entre 4 piquets de métal ou encore à même le sol. Les marchands vendent quelques tomates, oranges ou quelques pommes, ou encore des vêtements spécifiques, mais seulement usagés. Aucun article vestimentaire en vente ici n’est neuf et chaque pièce est unique. Certains portent même des étiquettes du village des valeurs (équivalent canadien d’Emmaüs). Les marchandises sont transportées sur des charrettes de fortunes en bois tirées à bras, tâche rendue d’autant plus difficile que les chemins qui parcourent le marché sont très chaotiques. La bonne humeur règne ici et il est très agréable de s’y promener et de discuter avec la population locale qui est encore une fois très accueillante.
Le marché d'Ambalavao

Toujours aussi chics en moto!!



Nous partons le jour suivant pour un trek de 3 jours dans les montagnes environnantes, accompagnés d’un guide (obligatoire pour accéder au parc national dans lequel nous nous rendons) et de porteurs pour le matériel de camping et la nourriture. Nous marchons entre 6 et 8 heures par jour. Les paysages sont vraiment magnifiques et changent sans arrêt : on passe de la prairie (avec des bleuets/myrthilles) aux rochers pour finir dans une forêt de palmiers, le tout en montagne. Nous sommes en plus choyés par la météo, qui est au beau tout au long de notre périple, et par les lémuriens qui se montrent à plusieurs reprises dans une petite forêt que nous traversons. 


La piste pour se rendre au départ de la rand



Sabie et un camaléon...







Un autre coucher de soleil!!!

Le campement


Petit village traversé


Le Tsanarao, notre deuxième étape









De retour à Ambalavao, nous reprenons notre descente vers le sud. Le prochain parc sur notre itinéraire est l’Isalo, que nous rejoignons en taxi brousse, notre moyen de locomotion depuis notre départ de Tana. Ce parc est nettement plus touristique et nous nous contenterons ici d’une rando d’une journée avant de partir pour la plage. Nous ne sommes pas déçus de cet arrêt, qui nous réserve des paysages complètement différents.
l'Isalo vu de notre hôtel

Canyon des makis



Piscine noire (ou bleue??)






Sur le chemin du retour au village


Ici, nous traversons des canyons et nous nous baignons dans des piscines naturelles. À présent, direction la plage pour reposer nos braves petites jambes qui nous ont pas mal transportés ces derniers jours !!